Honte chez les enfants
La honte est l’un des facteurs naturels pour former la personnalité de l’enfant, tout comme le sentiment normal de peur, de stress ou de tristesse… La honte est un obstacle pour l’enfant si elle est excessive et si elle n’est pas correctement traitée. Cela affectera sa vie sociale et se fera des amis. À l’école ou dans la communauté environnante, car cela peut affecter le niveau académique conduisant à une baisse. Dans cet article, nous présenterons la définition de la timidité chez les enfants, ses causes, ses formes et des conseils pour s’en débarrasser.
Définition de la timidité chez les enfants
La honte sur l’enfant est l’introversion de soi et le rejet de la participation de son âge au jeu, ou est l’incapacité de prendre et de donner avec ses pairs dans l’océan dans lequel il vit, ou est la perte de confiance en soi et un sentiment d’infériorité avec l’attente du danger et la critique constante des autres. La différence entre la timidité et la timidité est la suivante:
- La timidité passive est ce qui a été expliqué dans le paragraphe ci-dessus.
- La timidité ou la modestie naturelle est l’engagement de l’enfant envers la méthodologie de la vertu, de la moralité et de l’éthique de la religion.
Les causes de la timidité chez les enfants
- Héritage, il est possible que l’enfant soit timide car ses parents ou grands-parents sont timides.
- Protection excessive.
- Isolement social, en raison de la nature des parents, du lieu de résidence familiale ou de l’utilisation excessive de moyens techniques tels que le courrier électronique.
- Pensée persistante et confusion à la suite d’une maladie ou d’un trouble, comme l’eczéma, l’insomnie, l’insomnie ou un retard de la parole.
- Difficultés à différents stades de croissance, préscolaire et puberté.
- Difficulté à parler, ce qui lui laisse confiance en lui par peur des réactions et ridiculise les autres.
- Exposition à certaines conditions, telles que le déplacement d’un domicile à un autre domicile, la perte d’amis proches, la séparation des parents ou la mort d’un membre de la famille.
Formes de timidité
- La timidité de se mêler aux autres: cela signifie s’éloigner de ses collègues et de ses proches et éviter de s’engager dans des discussions.
- La timidité de la parole: c’est son engagement constant au silence, et a limité ses réponses à l’acceptation ou au rejet.
- Apparence timide: Ils sont timides lorsqu’ils portent une nouvelle robe ou lorsqu’ils changent de coiffure.
- Réunions timides: évitez de participer à des voyages, des fêtes ou des vacances.
Symptômes de timidité
- rougir.
- Sensation de nausée ou de fibrillation.
- Respiration ou surdité temporaire.
- Pleurs.
- Douleur à l’estomac.
- Sentiment de maux de tête.
- Mouillez le lit de bébé.
Conseils pour se débarrasser de la timidité
- Parlez à votre enfant en permanence et laissez-lui un espace où il peut exprimer librement ses émotions, qu’il soit en colère, embarrassé ou confus.
- Renforcez la confiance en soi de votre enfant et faites-lui sentir sa valeur en lui donnant la liberté de choisir ou de faire ce qu’il aime. Par exemple, laissez-le choisir la chemise qu’il portera ou permettez-lui de participer à la maison.
- Accordez toute votre attention à votre enfant et ne l’ignorez pas. S’il commence à vous parler, accordez-lui toute votre attention et écoutez-le.
- Ne lui mentez pas, si vous promettez de sortir avec lui à la troisième heure, faites vos paroles et sortez avec lui le même jour et à l’heure, car il vous attend avec impatience, et la promesse de l’engagement serait donnez à l’enfant la confiance nécessaire.
- Ne le décrivez pas timidement, car ce mot approfondira le concept du mot qu’il contient et l’augmentera au lieu de le résoudre.
- Donnez-lui une récompense, comme un encouragement à socialiser, par exemple, vous pouvez l’emmener à un beau pique-nique s’il a un ami qui joue avec lui.
- Faites attention aux mots que vous dites devant lui, ce qui affectera sa psychologie.
- Gardez votre enfant loin de la timidité, mais montrez-le et faites-lui face. L’évasion n’est pas une solution.
- Si l’une des solutions précédentes ne fonctionne pas, n’hésitez pas à proposer à votre enfant un psychiatre pour l’aider.